Nos missions et valeurs
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Nos missions
L’association Les Cimarrones a pour mission de repenser et de nourrir la relation entre culture, territoire et vivant.​
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Elle s’engage à :
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Favoriser l’éveil artistique, scientifique et écologique dès l’enfance, loin des écrans, en proposant des formats immersifs, ludiques et sensoriels qui relient les arts aux grands enjeux de société.
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Développer une médiation culturelle innovante, fondée sur l’écoute, la participation active et la reconnaissance des publics : la “médiation inversée”, qui valorise leurs représentations, leurs récits et leurs savoirs.
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Veiller au respect et à l’effectivité des droits culturels de chacun, en intervenant dès le plus jeune âge, et ce, au-delà des origines sociales, géographiques ou éducatives, afin de garantir un accès équitable à l’expression, à la participation culturelle et à la transmission des savoirs vivants.
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Soutenir la création, l’innovation artistique, en accompagnant des artistes dans leurs démarches de recherche, de transmission et de fabrique, en lien étroit avec les habitants.
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Développer des projets culturels en territoires à fort enjeu social — ruralités, Outre-mer, quartiers prioritaires, cités — pour rééquilibrer l’accès à l’art, retisser les liens sociaux et redonner place aux imaginaires.
Nos valeurs
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Nous croyons en une enfance reliée au vivant, à la culture et à soi.
Dans un monde saturé d’écrans, Les Cimarrones défendent une éducation sensible, immersive et poétique.
Notre vision : semer, dès l’enfance, des graines de liberté, de curiosité et de lien.
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Connexion au vivant : replacer la nature au cœur de l’enfance.
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Transmission : valoriser les savoirs, les mémoires, les récits.
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Liberté : encourager l’expression libre, hors des écrans.
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Éveil sensible : nourrir curiosité, créativité et écoute.
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Accessibilité : la culture pour tous, partout.
Philosophie des cimarronnes
Le nom Cimarrones ne vient pas par hasard. Il s’inspire du mot espagnol cimarrón, lui-même issu des langues arawak, qui désignait à l’origine les animaux domestiques retournés à l’état sauvage, puis, par extension, les esclaves marrons qui s’étaient affranchis du joug colonial. Ce mot porte en lui l’idée d’émancipation, de résistance et de retour au vivant.​
Il évoque une liberté arrachée aux conditionnements, une force de réinvention à l’écart des normes établies, où naissent de nouvelle exitence neuf, libres, pluriels et vivants.
Chez nous, il symbolise un élan créatif, vital, indiscipliné, profondément humain : un art qui ne se limite pas à la représentation, mais qui s’invente dans les marges, les villages, les cours d’école, les friches, les corps, les récits, les rencontres, les interstices...​
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Choisir ce nom, c’est affirmer une culture en mouvement, relationnelle, enracinée et à la fois déracinée, où chacun peut (re)devenir acteur, passeur ou créateur.